ACTIONS/PETITIONS

CAF de Meurthe et Moselle

 vendredi 2 octobre 2015

Le personnel mobilisé fait reculer la direction. En annexe trois documents à lire...

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Cpam bayonne : 19ème débrayage :

mardi 18 aout 2015

35,95% de grévistes ; 50 personnes à l’AG

Reconduction du mouvement le jeudi 27/08 voté à l’unanimité .

La balle est dans le camp du directeur et de la CNAMTS.

L’urgence est de répondre aux revendications des salariés par l’ouverture de relles négociations.

La fédération présente à l’AG réitère son total soutien à la lutte des salariés.


 

CPAM de Bayonne :

débrayages toutes les semaines depuis le 24 mars

 lundi 17 août 2015

Les salariés de la CPAM de Bayonne sont en lutte avec le syndicat CGT depuis plusieurs mois pour obtenir des embauches pérennes, des augmentations de salaire et la reconnaissance des qualifications professionnelles.

Ainsi, ils entendent améliorer leurs conditions de travail pour rendre un véritable service de qualité aux assurés sociaux.

Commencés le 24 mars dernier, les différents débrayages, au nombre de 18 depuis le début du mouvement, ont rassemblé en moyenne près de 40% du personnel.

Chaque débrayage a fait l’objet d’une Assemblée Générale du Personnel qui a voté la reconduction du mouvement semaines après semaines et la période estivale n’a pas vu le mouvement s’affaiblir.

Un nouveau débrayage, voté lors de la grève du 11 août, est fixé au mardi 18 août. La mobilisation des agents de la CPAM de Bayonne a permis d’obtenir quelques avancées.

Toutefois, des revendications sont loin d’être satisfaites.

Les salariés déterminés n’entendent pas abandonner la lutte sans l’obtention de l’ensemble de leur plateforme revendicative.

Le 16 juillet, le syndicat CGT de la CPAM de Bayonne interpellait la CNAMTS par courrier afin que cette dernière dépêche un médiateur pour l’ouverture de réelles négociations.

A ce jour, cette lettre est restée sans réponse.

Il y a urgence à ce que la CNAMTS prenne ses responsabilités et qu’elle donne, au plus vite, une issue positive au conflit.

La FNPOS-CGT réitère son total soutien à l’action menée par le syndicat CGT de la CPAM de Bayonne et les salariés. Elle se félicite du soutien apporté par les conseillers CGT.

La lutte des personnels de la CPAM de Bayonne, comme celles menées dans d’autres secteurs professionnels démontrent que les salariés ambitionnent une autre répartition des richesses et du temps de travail.

Toutes ces luttes contribuent à la défense de la Protection sociale : plus d’emplois, plus de salaire, c’est plus de cotisations sociales.

A l’aube des 70 ans de la Sécurité sociale, ces luttes réaffirment le bien-fondé de notre socle social tel que pensé par le CNR et qu’Ambroise CROIZAT a eu à cœur de mettre en place.

P.-S.

Vous pouvez témoigner votre soutien à cette lutte (à adresser à la FNPOS-CGT qui transmettra : fede@orgasociaux.cgt.fr
Une caisse de solidarité financière a également été ouverte (chèque à libeller à l’ordre du syndicat CGT des Organismes Sociaux de Bayonne et environs).

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CPAM de Bayonne - Une mobilisation exemplaire

lundi 10 août 2015

19ème jour de grève sur 4 mois de débrayage et toujours 40% du personnel mobilisé.

Jean Michel CANOT conseillé CGT à la caisse nationale accompagne les camarades dans cette action.

I. Historique

Ce mouvement trouve son origine fin 2014.

Il a pour cause les conditions de travail, le manque de reconnaissance, et l’inégalité des évolutions salariales.

1. Conditions de travail
La situation de la CPAM de Bayonne est critique en fin d’année, et début d’année 2015 avec des retards dans les services difficilement résorbables du fait du manque d’effectif.

Pour exemple, en novembre 2014, des CMU complémentaires ont été attribuées automatiquement (sans contrôle des ressources) à des personnes qui ont demandé soit la CMU-C, soit l’Aide à la Complémentaire Santé, du fait d’un retard de plus de 2 mois.

La direction prétexte que c’est la grève des médecins (décembre 2014), qui a engendré ce retard (septembre / novembre 2014), ce qui est anachronique.

Nous l’avons interpellé lors du Comité d’Entreprise de février 2015 sur la situation dans les services, et la direction a mis en ligne un message sur l’intranet en suivant, argumentant que la situation était normale.

2. Manque de reconnaissance
Depuis des années, la direction ne fait que parler de « missions nationales » au personnel de la CPAM, des « nouvelles missions de l’assurance maladie », et les techniciens des services de production se voient conseiller de changer de service pour pouvoir évoluer !

En outre, en octobre 2014, la direction a réorganisé la CPAM en « ingénieries » (qui se résument à des pôles de compétences dirigés de façon pyramidale avec des N+1 / N+2 / N+3 / N+4), faisant s’accroître le sentiment de non-reconnaissance de la part des techniciens : avant, ils n’avaient qu’un voire deux cadres au-dessus d’eux, maintenant, ils en ont 3 ou 4… et tous ces cadres se sont vus attribuer des niveaux supplémentaires en 2014.

De plus, notre directeur, en plus de 5 agents de direction (en comptant le médecin Responsable du Centre d’Examen de Santé qui est niveau 13E), s’est entouré ces dernières années d’une attachée de direction, d’un cadre spécialiste en marketing, d’un cadre chargé de la Communication, de 3 cadres chargés du Contrôle de Gestion, de 2 cadres chargés de la mission IJ, etc., sur un organisme qui compte seulement 250 salariés.

Aucune de ces personnes n’est issue de la CPAM de Bayonne ; elles ont toutes été recrutées en externe, alors que des agents de la caisse auraient pu être formés et bénéficier de promotions !

3. Inégalité dans la politique salariale
Lors de la dernière campagne de promotions (novembre 2014), une grande partie des promotions ont été distribuées à l’encadrement (10 % de l’effectif qui a capté plus de 42 % de l’ensemble des promotions).

La CPAM de Bayonne est 10ème au CPG, et les résultats sont en grande partie obtenus par les techniciens, qui se sont sentis exclus.

II. Début du mouvement

Début 2015, la situation de l’organisme est critique.

Alors que l’ensemble des organisations syndicales interpellent la direction lors des IRP, que les files d’attentes ne cessent de s’accroître et que les délais de traitement augmentent, la direction affiche un message sur l’intranet, en se vantant d’une situation « stable ».

La CGT lance un préavis de grève illimité. Le 24 mars 2015 (1er débrayage avec assemblée générale), environ 40 % du personnel suit le mouvement et le reconduit semaines après semaines.

La CGT fait le tour des services, élabore une lettre de revendications, et le personnel attend le directeur à l’entrée du Comité d’Entreprise pour lui remettre le courrier, le 26 mars 2015.

Le Directeur n’a jamais répondu !

Le 12 mai 2015, un nouveau courrier est élaboré et les salariés le remettent à la Directrice-Adjointe, lui demandant de répondre… Aucune nouvelle !

Début juin 2015, après 7 débrayages et presqu’autant de tentatives de mettre à mal le mouvement, le syndicat Force Ouvrière se joint au mouvement, forcé par les salariés.

Le directeur, voyant les syndicats s’allier, organise une réunion avec l’ensemble du personnel, fermant l’organisme pendant près de 3 heures le vendredi 12 juin 2015.

Il interpelle les salariés qui osent lui poser des questions, et le mardi 16 juin, plus de 48% du personnel a débrayé à l’appel des deux syndicats (CGT et FO).

Le 18 juin, le directeur a annoncé vouloir « discuter », mais que sur le passage de certains techniciens au niveau 4 de la classification.

III. Les revendications des salariés de la CPAM

1. Embauches supplémentaires
Les salariés en ont marre de voir que la direction embauche des cadres surdiplômés pour des missions abstraites, alors que dans leur métier de tous les jours, ils sont confrontés aux usagers et à l’impossibilité de traiter correctement leurs demandes.
Ils réclament le remplacement de tous les départs en retraites en 2015 (taux de remplacement 60 %).

2. Augmentation générale des salaires
Le syndicat CGT a fait le calcul pour une augmentation des salaires de 20 points pour 200 personnes, cotisations patronales comprises, mais SANS déduire les réductions bas salaires (dispositif Fillon).

Cette augmentation hypothétique correspond à 0,06 % du budget de l’organisme (nous avons annoncé 0,07% car nous voulions nous laisser une marge d’erreur), passerait les frais de personnel de 1,97 % à 2,04 %.

La direction refuse de parler d’augmentation générale des salaires, ni d’aucune mesure « automatique », prônant l’individualisation des salaires.

3. Reconnaissance de l’expertise des techniciens (niv 4 de la classification)
Nous voulons des passages au niveau 4 pour tous les techniciens devenus experts dans leur métier, et que ce passage soit objectivé par des éléments concrets (et non pas subjectifs, « à la tête du client »).

Il nous semble normal d’attribuer le niveau 4 de qualification à tout technicien après 5 ans d’expérience.

IV. Situation actuelle

1. Résultats obtenus
3 réunions ont été organisées par la Direction (18 juin, 23 juin et 2 juillet). Ce ne sont pas des négociations, mais seulement des « discussions », pour reprendre les termes.

Lors de ces réunions, plusieurs points ont été abordés

- Embauches
Nous avons obtenu 8 embauches de CDI en plus sur l’année 2015, dont 2 embauches de cadres pour des missions nationales.
En outre, le directeur a pu obtenir 4 CDI supplémentaires sur un droit à embauche de 2014.
Notre revendication est quasi atteinte (taux de remplacement en 2015 quasi à 100 %).

- Mesures salariales
- Salariés qui n’ont pas d’augmentation depuis des années
La Direction annonce que les salariés qui n’ont pas bénéficié de mesure individuelle lors des 3 derniers exercices se verront attribuer des points de compétence cette année (sauf avis contraire de leur encadrement ou agent de direction)
- Salariés presque au plafond
Les salariés qui sont à moins d’un pas de compétence du plafond de leur niveau de qualification se verront attribuer des points pour qu’ils l’atteignent.
- Reconnaissance de l’expertise des techniciens (niveau 4)
Il a annoncé 30 passages de techniciens au niveau 4 sur les deux prochaines années.
En outre, il a annoncé faire 14 passages niveau 4 - niveau 5A ou niveau 5A - niveau 5B sur cette même période de 2 ans ;
- Augmentation générale des salaires
Le directeur ne veut pas négocier dessus, et nous dit qu’il n’en a pas le droit. Pourtant, la CPAM de Bayonne souffre d’une courbe de salaires inégale, avec des niveaux 3 quasiment tous en deçà de la moyenne des salaires, et les hauts niveaux qui captent une grande partie des promotions.

2. Poursuite du mouvement
Les salariés ont voulu faire un débrayage le 22 juin 2015 lors de la venue de la délégation chinoise.

Le 30 juin 2015, les salariés ont envahi le Conseil de l’organisme.

Les annonces de la direction ne suffisent pas au personnel de l’organisme, qui n’a plus aucune confiance en eux.

La direction réplique par des mesures de rétorsion (elle a annoncé vouloir faire débadger les pauses des salariés, alors que cela n’avait jamais posé problème depuis 40 ans), ce qui exacerbe les tensions.

Nous avons fait parvenir une lettre à Nicolas REVEL, Directeur de la CNAMTS, afin qu’un médiateur soit nommé, le 17 juillet 2015.

Les salariés prévoient de continuer le mouvement tout l’été,
et bien au-delà.

P.-S.

En Savoir Plus...

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Licenciements à Harmonie Mutuelle

vendredi 13 février 2015

DESHARMONIE… chez HARMONIE MUTUELLE.

345 salariés menacés de licenciements

Hier, elle absorbait… elle fusionnait… elle se rapprochait… Aujourd’hui elle restructure, elle établit un projet de transformation de l’entreprise.

Il s’agit de la plus importante mutuelle interprofessionnelle, Harmonie Mutuelle.

En effet, sous prétexte d’optimisation, de compétitivité, de maitrise des frais de gestion, les dirigeants décident la fermeture d’agences et de points d’accueil, la fermeture de centres de gestion, entrainant dans cette descente aux enfers 345 salariés !

Un accord de méthode non signé par la CGT prévoit la négociation d’un plan social d’ici l’avis définitif du comité d’entreprise du 30 avril.

L’heure n’est pas à l’accompagnement des licenciements mais bien à la lutte pour la défense de l’emploi.

La fédération apporte son soutien au syndicat CGT d’Harmonie Mutuelle, aux salariés et réaffirme sa combattivité et sa disponibilité pour agir contre ce projet de destruction.

La Fédération CGT des Personnels des Organismes Sociaux organisera le 10 mars au matin une conférence de presse pour dénoncer l’ensemble des plans sociaux dans le secteur de la mutualité…vous avez dit « économie sociale » !

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L’Austérité tue la protection sociale

mercredi 12 novembre 2014

Tous en manifestation samedi 15 novembre 2014 pour dire Non à l’Austérité

Le pays s’enfonce dans la crise avec son cortège de misère, de chômage, de précarité, de violentes divisions.

Depuis des années la droite et, depuis 2012, François Hollande, les gouvernements Ayrault et Valls poursuivent le même but dans le cadre des traités européens et en accord avec les dirigeants de l’Europe libérale :
- austérité,
- compétitivité par la baisse du coût du travail,
- reculs sociaux,
- coupes sombre dans les dépenses publiques.

François Hollande engage plus que jamais la France dans le carcan de la politique libérale imposée à Bruxelles : budgets publics contraints et restrictions pour les plus humbles, cadeaux et largesses fiscales pour les entreprises et les plus riches.

Ces politiques ont échoué partout comme elles échouent en France : elles nourrissent la crise, creusent tout à la fois les inégalités et les déficits.

Le Président de la République s’obstination à poursuivre une politique d’austérité sélective, impitoyable pour les salariés, les retraités, les privés d’emploi, mais très aménageable pour les entreprises et les actionnaires.

La baisse des cotisations patronales introduite par le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) deviendra définitive à partir de 2017.
Autant de financements transférés des entreprises vers ceux qui paient des impôts : les salariés et les ménages.
Autant de droits sociaux réduits pour les mêmes.

Dans son immense majorité le peuple rejette cette politique libérale imposée.

Cette situation crée une grave crise politique dont la droite et l’extrême-droite porteuses de graves projets de régression tentent de tirer profit.

Il faut dire non à la loi de finances 2015 présentée par Manuel Valls qui, pour satisfaire les cadeaux faits au CAC 40, dans le cadre du pacte de responsabilité, coupe massivement dans les dépenses publiques.

Il se traduirait par le recul des services publics et de ses missions, un étranglement financier des collectivités locales et de leur capacité d’investir.

Il faut aussi empêcher les reculs budgétaires de la protection sociale qui remettent en cause les acquis pour la santé, la retraite, la famille, les chômeurs.

D’autres choix sont pourtant possibles.

Nous ne sommes pas condamnés à l’austérité permanente et à l’insécurité sociale.

Il faut mettre en œuvre une politique qui parte des besoins sociaux, s’attaque aux inégalités.

Une réforme fiscale d’ampleur permettrait une redistribution des richesses et une relance des investissements productifs au bénéfice de la grande masse de la population, s’inscrivant dans la transition écologique.

Il faut redonner du pouvoir d’achat, augmenter les salaires, créer des emplois.

Il faut créer les conditions d’une véritable reconquête industrielle.

Il faut s’attaquer au capital, à la finance, à la rente des actionnaires qui est supportée par les salarié-es, les chômeurs, les précaires, les retraités et la jeunesse.

- Non aux différents budgets d’austérité du gouvernement VALLS II !
- Non aux exigences du Medef !
- Oui pour rassembler et construire une alternative à la politique actuelle !

Le Samedi 15 Novembre 2014


 

 

 

Tract commun FD

organismes Sociaux/Santé action sociale

Publié le vendredi 20 juin 2014

Le Pacte tue la Sécu : Luttons !

Ensemble, usagers, salarié(e)s, nous pouvons reconquérir un financement de la sécurité sociale SOLIDAIRE ET JUSTE, pour un grand service public sanitaire et social accessible à tous sans discriminations.

PARCE QUE LA SÉCU C’EST NOTRE AVENIR COMMUN,
USAGERS ET SALARIÉ(E)S
ENSEMBLE, MOBILISONS NOUS LE 26 JUIN 2014 !

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Tous à la manifestation le 26 juin 2014

Publié le mercredi 18 juin 2014

Partout, Mobilisons-nous du 23 au 27 juin.

Partout, interpellons les directions d’entreprises, les employeurs, pour porter nos exigences sociales en cette période de casse de la protection sociale.

L’HEURE N’EST PAS A LA RÉSIGNATION

Dans cette période de remise en cause du financement de la protection sociale et des attaques sans précédent contre les services publics, la fédération cgt des organismes sociaux appel l’ensemble des salariés de nos professions à être nombreux en grèves et à participer massivement aux manifestations le 26 juin 2014.

TOUS ENSEMBLE EN GREVE LE JEUDI 26 JUIN 2014

 


 

Les Fédérations FO et CGT

appellent leurs syndicats

à participer à la manifestation organisée

à Paris ce jeudi 19 juin

Publié le mercredi 18 juin 2014

La FNPOS CGT et la FEC FO affirment leur totale solidarité avec les cheminots en grève pour le retrait de la "réforme ferroviaire", contre la privatisation de la SNCF et la destruction de leur statut professionnel.

En effet le gouvernement s’attaque aux cheminots, tout comme il s’attaque à la Sécurité sociale et à son personnel, en supprimant des milliers d’emplois et en remettant en cause les Conventions Collectives Nationales.

Les Fédérations FO et CGT appellent leurs syndicats à participer à la manifestation organisée à Paris ce jeudi 19 juin par les Unions Régionales CGT, FO et SUD en soutien aux cheminots.

Elles invitent leurs syndicats à contacter les cheminots pour rétablir devant le Personnel des organismes sociaux, la vérité sur la réalité de la reforme gouvernementale, suite à la désinformation médiatique organisée par le gouvernement.

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GREVE A LA CPAM DE MOSELLE

  • Grève mardi 21 et jeudi 23 janvier 2014 à la CPAM DE MOSELLE

- CONTRE LA FERMETURE DU CENTRE DE MARLY

LE SYNDICAT CGT DE LA CPAM DE MOSELLE NE PEUT ACCEPTER LA FERMETURE DE CENTRES

  • AUJOURD'HUI MARLY ET DEMAIN ?

RASSEMBLEMENT JEUDI 23 JANVIER A 9H DEVANT LE SIÈGE DE LA CPAM DE MOSELLE

  • Signature de pétition aux agents et aux assurés

COMMUNIQUE CGT

 


 

CAF - poursuite de la grève en Isère

mercredi 11 décembre 2013

La CGT de la Caf de l’Isère appelle à la grève le Vendredi 13 décembre 2013

Nous souhaitons continuer de maintenir la pression :

- mesures salariales,
- effectifs,
- dossier amiante,
- fermetures...

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La CAF de l’Isère en Grève

mercredi 4 décembre 2013

La CGT de la Caf de l’Isère

appelle à la grève

le Vendredi 6 décembre 2013

Vos élus CGT tiendront une AG en salle bibliothèque de 14h05 à 15 h (le temps du débrayage).

- Règlement Intérieur,
- Note sur les déplacements et missions,
- Points de compétence,
- Changements de niveaux,
- Excédents de fin de COG,
- RPS (Risques Psychosociaux),
- Mobilité (renégociation au national du protocole du 26/01/10),
- Schéma Régional des Caf,

Le slogan de Nos Directions pourrait être :

« Dites nous de quoi vous avez besoin, on vous expliquera comment vous en passer ! » (Coluche)

Sauf que de leurs primes de résultats, eux, ils ne s’en passent plus !

RESTONS MOBILISES !


les 21 et 22 novembre 2013,

la branche famille organise

la rencontre des présidents et vice présidents des caf

Publié le vendredi 15 novembre 2013

pour la CGT cette réunion ne peut se tenir sans que soit entendue la parole des salariés, c’est pourquoi vous trouverez en pièce jointe les deux courriers de demande d’entrevue adressés à Mr DEROUSSEN, président du CA de la CNAF et à Mr LENOIR, directeur de la CNAF.

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COG 2013-2017

En 1995, la CGT a condamné et combattu le plan JUPPE, plan qui portait en lui les germes du démantèlement de notre Sécurité Sociale. Il instaurait et validait le principe des conventions d’objectifs et de gestion (COG) qui lient l’Etat et les Caisses nationales en leur imposant des contraintes fortes (économiques et comptables) au détriment du sens et de nos conditions de travail
Depuis, la première COG de la branche famille en 1997, les conditions de travail n’ont cessé de se dégrader.
Elles n’ont fait depuis que s’amplifier pour plonger les CAF dans de grandes difficultés (retard dans le traitement des dossiers, stocks importants..).
Ces difficultés ont été combinées à des méthodes de gestion insupportables : heures supplémentaires parfois imposées, fermetures d’accueils, réduction du nombre de caisses locales, pression sur les salariés, etc…
Malgré cela les personnels n’ont pas baissé les bras, ils ont exprimé leur mécontentement par des luttes diverses  : grèves, manifestations, pétitions à la population, aux élus, aux différents gouvernements.
Au cours des 12 derniers mois, la CGT en lien avec les personnels ont porté des revendications d’amélioration des conditions de travail, de reconnaissance professionnelle, d’exigence de création de postes pérennes, etc...

La COG 2013/2017 a été signée pour une durée de 5 ans. Seules la CGT et FO ont voté contre. CFDT et 1 Personne Qualifiée se sont abstenus. Tous les autres ont voté pour.

  • Une COG dans la parfaite continuité des précédentes et qui accélère même le démantèlement de la sécurité sociale.
Les conséquences de cette COG se traduisent par :
  • La volonté d’un choc de simplification

Elle se décline par un objectif de :
- l’augmentation des démarches en ligne : 100 % dématérialisée ; télé-procédure pour le RSA, le CLCA.
- la réduction des pièces justificatives en développant les relations avec les partenaires (bailleurs, dgfip, Pôle emploi),
- la simplification « apparente »du RSA et de la Paje (Prestation Accueil du Jeune Enfant)
La dématérialisation est mise au cœur de la stratégie de la CNAF avec le développement des services à distance, internet et le téléphone. Simplification des procédures qui ne vise qu’à la réalisation de nouveaux gains de productivité.
Sous des aspects apparents de « simplification » nous savons que cela induit une complexification accrue dans les démarches pour les allocataires et dans la gestion pour le salarié (morcellement dans le traitement des demandes, augmentation dans le nombre de visites à l’accueil, risque accru d’indus, etc.)
  • Choc de production

Aucune mise en adéquation des charges et des moyens. Des techniciens submergés, une expertise accrue, mais sans moyens supplémentaires, ni reconnaissance quelconque. Un choc de production qui en dit de l’arrogance et du mépris avec lequel les salariés sont traités.
Pensez-vous, Messieurs « de la CNAF et du gouvernement » que les 700 emplois d’avenir vont résorber la charge de travail accumulée depuis plusieurs mois ? Cerise sur le gâteau, vous n’avez pas le courage d’embaucher ces salariés en contrat à durée indéterminée puisqu’il faudra rendre ces postes. Une réduction nette d’un minimum de 2000 postes est programmée pour la fin de cette COG, c’est scandaleux !
  • Nouvelles doctrines de l’accueil 

Les CAF, par manque de moyens en personnel, ferment les accueils au public pour résorber le retard. Les caisses n’ont plus les moyens suffisants pour répondre à l’urgence sociale.
Informations générales, conseil personnalisé, expertises et accompagnement social : la COG prévoit qu’en fonction de la situation de l’allocataire, le type d’accueil sera différencié : c’est le plan territorial d’accessibilité.
Nouvelle trouvaille : l’accueil sur rendez-vous. Comment peut-on proposer un rendez-vous à des familles en détresse, qui ont besoin de ce contact pour chercher à résoudre leurs difficultés ! Un Service public, c’est un service ouvert au public !
Pour faire passer la pilule, la CNAF met en avant que c’est une demande des allocataires et des agents.
L’action sociale Encore une fois, beaucoup d’effets d’annonces et très peu de réalisations concrètes.
Les moyens budgétaires alloués ne sont pas suffisants pour conduire une politique d’action sociale à la hauteur des missions que l’on nous assigne.
Cette réduction des moyens (la dotation d’action sociale socle) mène à des choix drastiques : c’est moins d’aides accordées aux familles (aides aux vacances, secours, aide pour l’emploi d’une aide à domicile).
Dans un contexte de crise et d’explosion de la demande sociale il y a lieu de s’inquiéter réellement pour le devenir d’un service entier.

Cette COG va être déclinée dans les caisses locales.

AGISSONS tout de suite pour :
- L’embauche de salariés en CDI,
- La reprise des négociations sur la classification,
- L’arrêt des fermetures d’accueil,
- L’interruption des réorganisations permanentes,
- Arrêt des mutualisations et des externalisations,
- Une véritable politique d’action sociale.

Ultime provocation : Les présidents et directeurs de la CNAF se réunissent à Lille les 21 et 22 novembre 2013.

La CGT sera présente pour porter haut vos revendications !!!

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COG 2013/2017

NOUS DEVONS AGIR

Depuis, la première COG de la branche famille en 1997, les conditions de travail n’ont cessé de se dégrader.
Elles n’ont fait depuis que s’amplifier pour plonger les CAF dans de grandes difficultés (retard dans le traitement des dossiers, stocks importants..).
Ces difficultés ont été combinées à des méthodes de gestion insupportables : heures supplémentaires parfois imposées, fermetures d’accueils, réduction du nombre de caisses locales, pression sur les salariés, etc…
Ça suffit !
Les 21 et 22 Novembre vont se tenir, à Lille les rencontres des présidents. La CGT y sera pour rappeler les revendications des personnels.

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Tract URSSAF inspecteurs du Recouvrement

mardi 29 octobre 2013

La régionalisation des URSSAF permet à l’ACOSS d’avoir une mainmise de plus en plus ferme sur les organismes. Tous les « acquis » des Inspecteurs, mais aussi de l’ensemble du personnel, sont tirés vers le bas. Mobilisons-nous ! Lire le tract...

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La CPAM 47 en lutte depuis 3 semaines

 mercredi 23 octobre 2013

Voilà maintenant 3 semaines que le conflit social a éclaté à la CPAM 47 sur la base de la dénonciation de l’indemnité repas pour les salariés itinérants, qui repose sur une lettre aux directeurs du mois d’avril. Le conflit concerne également la proratisation de la prime des 15% pour les mêmes itinérants. Ce mouvement a été déclenché par FO seul puisque nous n’étions pas avertis. Nous avons rapidement rejoint le conflit et, à notre initiative, il a été élargi à tous les services de la Caisse quelques jours après.

Nous avons fait des tournées de services qui ont produit le cahier revendicatif de 7 pages qui vous a été envoyé début octobre.

Un tableau de suivi des "négociations" (des discussions en réalité), à l’initiative de FO, permet de tenir les salariés informés par voie d’affichage et par intranet, en plus des tournées qui se poursuivent.

Nous avons rencontré le Préfet le 7 octobre avec la Direccte et nous informons régulièrement la Direccte.

Un courrier d’argumentation juridique sur l’indemnité repas a été envoyé au directeur (copie : Cnamts, Comex, députés, Conseil, Conseil Général, Direccte, Préfecture). Un autre courrier va lui être adressé demain (copie aux mêmes) et un courrier à la Direccte sur la base des irrégularités sur les compteurs (heures supplémentaires déguisées mais non payées, utilisation de CDD de manière permanente et dégradation des conditions de travail) va partir demain également. Seront jointes toutes les questions DP restées sans effet depuis 2007 sur ces thèmes et un dossier d’évaluation charges/moyens erronée établi par la direction en 2009.

Une pétition circule depuis cet après midi (base 1ère lettre au directeur sur l’indemnité repas).

Ce conflit a débuté par une journée de grève le 25 septembre, puis des débrayages quotidiens du 26 septembre au 3 octobre. A partir de là, en s’appuyant sur les expériences des luttes de 2007 et 2008, nous avons orienté l’action vers des débrayages hebdomadaires pour nous permettre de mener des actions périphériques (État, politiques, presse, institutionnels) tout en discutant avec le directeur (on ne peut pas appeler ça négociation) deux fois par semaine. Depuis le 8 octobre, nous avons abordé à peine 5 pages sur 7...sans aucune avancée notable à ce jour.

Le mouvement est reconduit par l’Assemblée Générale jusqu’à la semaine du 4 au 8 novembre 2013, débrayages hebdomadaires pendant les congés scolaires et une seule séance de discussions par semaine. Les Assemblées Générales de grévistes rassemblent entre 50 et 90 salariés sur un total de 200 CDi présents au siège et dans les antennes. Au total, 60% des salariés (120 sur 200) ont débrayé au moins une fois pour soutenir l’action.

La réunion Sécu Régionale en Aquitaine le 16 octobre a validé le plan de travail pour le mener dans les Caisses de la région début novembre afin d’élargir la mobilisation ....et pourquoi pas envisager un point fort de mobilisation régional le 26 novembre 2013 en Aquitaine ???

De plus, les camarades de FO partent en Congrès la semaine prochaine et doivent y intervenir pour développer l’intersyndicale au niveau régional aquitain. Un relais fédéral CGT et FO nous aiderait sans aucun doute dans la démarche.

La journée de mobilisation du 15 octobre en Lot et Garonne a eu lieu devant la CPAM, nous avons été soutenus par les militants de l’inter-pro. Le lien emploi-salaires-retraites et Protection Sociale a été vite trouvé (voir cahier revendicatif).

Depuis ce matin nous diffusons un tract aux assurés sociaux devant la CPAM quelques heures par jour, aidés en cela par des militants de l’inter pro. Très bon accueil des assurés sociaux, notamment quand on leur explique que les salarié-e-s qui viennent d’être embauchés à 1200€ sans les primes vont perdre entre 150 et 200€ qui faisaient du bien dans la marmite...et qu’ils-elles peuvent "prétendre" (notamment les mamans seules) aux dispositifs sociaux qu’ils-elles présentent aux assurés.

La lettre au directeur du 16102013 et la lettre à la Direccte sera envoyée en début de semaine.

Nous avons besoin de votre intervention pour faire en sorte d’avoir en face de nous un directeur qui veut vraiment négocier et pas un directeur qui part à la retraite dans quelques semaines. Nos dirigeants nationaux doivent prendre la mesure de la détermination du personnel et l’impasse dans laquelle nous a mis le directeur actuel, qui a pour conséquence la dégradation du Service Public et de la santé des salariés.

fraternellement, Le syndicat CGT de la CPAM 47 N’hésitez pas à consulter le site de la CGT des Organismes Sociaux : http://www.orgasociaux.cgt.fr

Il faut continuer à combattre l’injustice sociale. Le monde ne guérira pas tout seul (Eric Hobsbawm)

P.-S.

Pièces jointes :
- cahier revendicatif actualisé,
- tableau de suivi (non actualisé),
- lettre au directeur du 03102013,
- lettre des salariés en lutte validé en AG (a fait l’objet d’un communiqué de presse),
- lettre des représentants des salariés aux assurés (tract distribué devant l’accueil de la CPAM),
- tract d’appel du 15 octobre,
- déclaration CE (questions DP identique) du 18 octobre,
- pétition du personnel.

Documents joints

 


 

 

Pôle Emploi Bretagne :

Appel à la grève jeudi 10 octobre 2013

 le mercredi 9 octobre 2013

Les organisations syndicales : CGT, FO, SNU, SUD appellent l’ensemble des agents à être en grève le jeudi 10 octobre et à participer à un rassemblement à 10h devant le site de st Brieuc ouest. Elle réaffirment leur solidarité et leur soutien à notre collègue injustement sanctionné de 5 jours de mise à pied. une pétition sera mise en ligne sur le site, sinon possibilité de la télécharger avec les déclarations unitaires.

Signez massivement la pétition de soutien

Lien vers la pétition...

 


 

 

Manifestation nationale

pour la défense des libertés syndicales

La CGT appelle l’ensemble des salariés, des citoyens, à venir massivement manifester pour une véritable démocratie sociale, respectueuse des libertés syndicales le 5 novembre 2013, à 10h à Roanne, à l’occasion du procès des « 5 de Roanne » qui ont refusé de se soumettre au prélèvement de leur ADN.

L’UD Moselle organisera des transports en commun.

Les affiches sont disponibles dans vos UL.

Illustration

Elle invite tous les salariés et citoyens à signer la pétition nationale "Pour les libertés d’actions et d’expressions syndicales"

 

Pour les libertés d’actions et d’expressions syndicales

Les libertés syndicales, les libertés d’expressions, les libertés d’agir collectivement sont aujourd’hui gravement menacées. Au prétexte d’une crise financière et économique, les Droits des salariés sont soumis à des pressions considérables avec la mise en œuvre de réformes fondamentales du Droit du Travail qui renforcent les politiques de flexibilité voulues par le MEDEF et qui favorisent la précarité et l’exclusion des salariés.

Pour tenter de dissuader toute opposition à cette cure d’austérité sociale, une politique répressive à l’encontre de l’action syndicale et progressiste est orchestrée par les promoteurs du libéralisme, avec l’aval du Pouvoir en place.

L’affaire des cinq militants CGT du Roannais est le symbole de cet acharnement contre toutes formes d’actions et d’expressions syndicales !

Face à cette situation insupportable, la CGT en appelle à la mobilisation syndicale et citoyenne pour exiger de la part du Président de la République et de sa majorité parlementaire, un changement radical de politique en matière de Démocratie Sociale et de respect des Droits Sociaux Fondamentaux des salariés, des citoyens.

La CGT propose que le Gouvernement et le Parlement prennent trois mesures pour renforcer la protection des militants syndicaux et progressistes :

- 1) Le vote définitif, par l’Assemblée Nationale, de la Loi d’amnistie « des délits commis lors des mouvements sociaux », adoptée par le Sénat le 28 février dernier.
- 2) Une loi portant sur des droits nouveaux protégeant les militants syndicalistes et progressistes qui, dans le cadre de leur mandat, agissent dans une action collective.
- 3) De retirer de la liste des délits susceptibles d’être inscrits au fichier des empruntes génétiques, toutes les condamnations touchant les militants syndicalistes et progressistes qui, dans le cadre de leur mandat, agissent dans une action collective.

La CGT invite l’ensemble des salariés, des citoyens à signer cette pétition.

Elle appelle par ailleurs l’ensemble des salariés, des citoyens, à venir massivement manifester cette exigence d’une véritable Démocratie Sociale, respectueuse des libertés syndicales le 5 novembre 2013, à 10h à ROANNE, à l’occasion du procès des « 5 de Roanne » qui ont refusé de se soumettre au prélèvement d’ADN.



PÉTITIONS


  Ci dessous :

la pétition décidée par la CPAM du Rhône qui a déjà 562 signatures.
Elle concerne l'ensemble des organismes sociaux.
A l'occasion d'un mouvement national, toutes les signatures pourront être déposées à l'UCANSS et au ministère.
Merci, si vous en décidez, de la mettre en ligne sur le site de la Fédé et de la Confédé, dans la rubrique agenda dans la NVO mais aussi de la diffuser à vos amis, collègues et membres de votre famille car il s'agit de la défense de la protection sociale.

Voici le lien pour la pétition en ligne : 
http://www.change.org/fr/pétitions/ucanss-et-mme-la-ministre-marisol-touraine-augmenter-les-effectifs-de-la-protection-sociale-2

 


 

JOURNÉE D ACTION LE MARDI 9 AVRIL 2013

Le temps n’est pas à la résignation, le 9 avril, les salariés de la Sécu seront dans la rue !

TOUS ENSEMBLE LE 9 AVRIL 2013

MANIFESTATION A 14H30 PLACE MAZELLE A METZ

                       REJOIGNEZ-NOUS

                                                       VENEZ MANIFESTER

                                                                                     AVEC LE SYNDICAT CGT DE LA CPAM DE MOSELLE

Un préavis de grève a été déposé de 55 minutes, ½ journée ou 1 journée à la CPAM de MOSELLE pour la journée du 9 avril 2013

ANI : Accord National Interprofessionnel.

 


 

APPEL NATIONAL DE LA FÉDÉRATION CGT DU PERSONNEL DES ORGANISMES SOCIAUX Pour une journée d’action et de grève puissante le 9 avril 2013

Publié le vendredi 29 mars 2013

Après les fortes mobilisations du 5 mars qui ont réuni 200 000 manifestants dans 175 cortèges et rassemblements, les organisations syndicales CGT, FO, FSU et Solidaires appellent l’ensemble des salariés du privé comme du secteur public, des retraités et des privés d’emploi, à une nouvelle journée de grève et de manifestation le mardi 9 avril 2013 pour empêcher la transposition dans la loi du contenu de l’ANI du 11 janvier 2013. (appel à télécharger)

Documents joints


 

Nouvelle journée d’action le 9 avril 2013

une nouvelle journée de grèves et de manifestations le mardi 9 avril 2013

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour empêcher la transposition dans la loi du contenu de l’ANI du 11 janvier.

La parole de la CGT, portée dans l’opinion publique et auprès des parlementaires, perturbe déjà la stratégie du MEDEF.

La CGT invite ses organisations à tout mettre en œuvre pour continuer d’informer, et débattre le plus largement possible d’ici le 9 avril avec tous les salariés du contenu de l’accord et des propositions alternatives de la CGT en faveur d’une sécurité sociale professionnelle.

La CGT et ses militants vont poursuivre les rencontres avec les parlementaires dans les tous prochains jours afin de leur démontrer la nocivité de l’accord pour les salariés et son inefficacité en matière économique.

La CGT invite toutes ses organisations à créer les conditions du rassemblement le plus large.

Documents joints

 


 

CAF :

APPEL DE LA FÉDÉRATION LE 2 AVRIL 2013

LA CGT APPELLE LES PERSONNELS DES CAF

A ÊTRE DANS L’ACTION

ET A MANIFESTER LE 2 AVRIL 2013,

JOUR DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA CNAF.

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le 28 mars les retraités ne lâchent rien

A METZ

rassemblement a 10 heures devant la Préfecture de Metz

Le Medef veut imposer son diktat avec une revalorisation pour les cinq années à venir qui se situerait en dessous du niveau de l’inflation, ce qui aurait pour effet une perte sèche du pouvoir d’achat des pensions, mais aussi un manque à gagner conséquent pour les futurs retraités. C’est dire que les salariés actifs sont aussi concernés par cette action

De plus le gouvernement compte bien imposer ces dispositions, à l’ensemble des pensions du privé, dupublic, des régimes spéciaux.

Les retraités sont en colère ! L’heure est donc à l’action

La revalorisation des points de retraite complémentaire sera plus faible que l’inflation en 2013, 2014 et 2015. Quel est la perte de pouvoir d’achat induite pour les retraités non-cadres ?

La pension mensuelle d’un salarié du privé est de l’ordre de 1.700 euros en moyenne avec une carrière complète, dont 600 euros de retraite Arrco soit 35% du total de ses allocations. La décorrélation par rapport à l’inflation de l’évolution de la valeur de service du point de cette année va lui faire perdre 5,70 euros par mois, soit un impact de 0,34% sur le montant de sa pension. Au terme de trois années de retraite complémentaire ainsi désindexée, le manque à gagner mensuel se montera à 18,57 euros soit 1,1% de sa pension actuelle.

Et pour les anciens cadres ?

Pour une pension de 3.000 euros par mois, comptez 400 euros de retraite Arrco et 1.500 euros de retraite Agirc, soit respectivement 13% et 50% du montant perçu par l’ancien cadre. Sa perte mensuelle de pouvoir d’achat se monte à 23 euros soit 0,75% de sa retraite. Pour un cadre supérieur à 5.000 euros de retraite mensuelle dont 78% provenant des complémentaires, l’impact est de 48 euros par mois, soit 0,95% la première année et près de 3% au bout de 3 ans.

L’impact d’une désindexation est donc beaucoup plus pénalisant pour les cadres...

Les cadres sont les dindons de la farce, d’autant plus que nombre d’entre eux ont déjà été pénalisés par le précédent accord entre les partenaires sociaux, conclu le 18 mars 2011. Les catégories de cadres parents de familles nombreuses ont été durement touchées par l’alignement entre l’Agirc et l’Arrco de la majoration accordée à partir de 3 enfants à charge, et leur plafonnement à 1.000 euros par an* : les pertes annuelles de 4.000 à 5.000 sont monnaie courante et peuvent dépasser 10.000 euros pour les cadres supérieurs ayant 5 enfants ou plus. On peut considérer d’une certaine manière que les cadres sont privilégiés mais ce sont aussi ceux sur lesquels on tape le plus facilement sans réaction sociale de leur part.

Un salarié ou un cadre, dont l’âge le rapproche de son départ en retraite, peut-il agir pour compenser cette moindre augmentation des pensions et la perte de pouvoir d’achat qui en découle ?

Si les futurs retraités allongent leur vie professionnelle d’une année ou deux, ils peuvent acquérir des droits additionnels. Surcote, cumul emploi retraite, retraite progressive, temps partiel en fin de carrière... de nombreuses solutions existent pour augmenter ses droits à la retraite. Avant de se focaliser sur la désindexation, les retraités feraient mieux de se focaliser sur le nombre de trimestres dont ils disposent : 4 trimestres manquants font perdre 5% de retraite, soit 25% au bout de 5 ans !

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Le 5 mars, pour l’emploi,

pour dire non à l’accord de régression sociale

du 11 janvier !

Manifestation du 5 mars 2013

Dans le cadre de la journée d’action du 5 mars pour l’emploi :

Non à l’accord de régression sociale du11 janvier, les organisations CGT et FO organisent une manifestation départementale à 14 h30 avec le parcours suivant :

Départ : Place Mazelle

Avenue Foch – Avenue Ney – Rue Serpenoise – En Fournirue

Arrivée : Place de la Préfecture

 

 

 


 

 

Résultats de la journée de grève

du 07/02/13 à la Caf de la Moselle (57)

effectif réel: 405
55 minutes : 4 agents
1/2 journée : 31 agents
journée : 142 agents
soit un total de 177 grévistes, soit 43,7 %


Salaires 2013 - Année Blanche pour la sécu

Salaires 2013 Sans mobilisation des Personnels Année blanche pour la Sécu !

Depuis 2010, la valeur du point est bloquée dans l’institution.

A l’initiative de la CGT, la forte mobilisation du personnel le 8 février 2011 avait permis le retrait de la proposition de lissage des primes de vacances et l’octroi de cinq points pour tous avec effet au 1er mars.

Même si ce résultat n’est pas à la hauteur de nos revendications, jamais l’UCANSS n’aurait reculé sans les milliers de manifestants devant son siège à Paris.

Concernant les salaires, les choses sont claires : une première RPN s’est tenue le 18 décembre à l’UCANSS. Le directeur n’était porteur d’aucune proposition, c’est donc une année blanche qui nous attend …

Sans réaction rapide et massive des Personnels, notre salaire de 2013 sera le même que celui de 2012 !

Heureusement que l’inflation est jugulée et que l’énergie, l’habillement, les loyers, la nourriture, les études des enfants, etc.… n’ont pas augmenté ! Sinon, comment ferions-nous ???

Trêve de plaisanterie… Dans l’institution, comme la CGT vous l’a maintes fois démontré, l’argent existe pour répondre à vos revendications salariales.

Chaque année, ce sont 100 millions d’euros qui sont économisés sur le dos des salariés de la Sécurité Sociale, résultat des sommes non dépensées dans les budgets de personnel.

Quand la CGT revendique une revalorisation immédiate de 6% de la valeur du point, elle n’est pas dans la démagogie : c’est simplement l’équivalent de ce qui a été « détourné » par les caisses nationales ces trois dernières années !

Le Personnel se doit de fortement réagir pour contrer la volonté de nos employeurs de continuer de bloquer la valeur du point, paupérisant ainsi tous les avantages conventionnels qui garderaient en 2013 leur valeur 2010…

Au soir de la RPN du 18 décembre 2012, les cinq fédérations CGT, CFDT, FO, CFTC, CGC se sont mises d’accord sur un appel de tous les Personnels de l’institution à une grève le 7 février 2013.

Pour la fédération CGT, l’action s’impose pour exiger :
- Une revalorisation de la valeur du point au 1er janvier 2013 qui ne saurait être inférieure à 6%, cumul de l’inflation officielle pour 2010, 2011, 2012 pour tendre vers notre revendication d’un salaire minimum à 2000 euros pour tous.
- 300 euros pour tous les agents de l’institution au titre du rattrapage de la perte du pouvoir d’achat des années antérieures

Toutes et tous en grève le 7 février

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UR - Le 15 janvier 2013 le personnel en grève

EXIGEONS PARTOUT !

- La suspension du processus de régionalisation dans l’attente d’un bilan des conséquences sur les trois premières régions,
- L’arrêt des externalisations,
- L’arrêt des suppressions d’emplois,
- L’arrêt des mobilités du personnel,
- L’arrêt de la souffrance au travail,
- L’arrêt des réorganisations perpétuelles,
- Une vraie politique salariale,
- Une classification qui reconnaisse vraiment les qualifications avec de véritables moyens financiers,
- Des moyens humains et matériels pour assurer dignement nos missions.

Pour imposer ces exigences, le rapport de force doit s’inverser !

Dans ces conditions, la fédération appelle à l’action la plus large, par tous moyens, grève, débrayages, assemblées générales de personnel

Le 15 janvier 2013 ! Jour symbolique d’encaissement dans les URSSAF

Il n’est plus temps d’attendre ! Charge de travail en hausse ! Salaires en baisse ! Cela ne peut plus durer !!!

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MANIFESTATION LE 14 NOVEMBRE 2012

DÉPART

A 17 H PLACE DE LA RÉPUBLIQUE A METZ

 


Le 14 novembre 2012

contre l’austérité, pour l’emploi, les salaires

et la protection sociale

La fédération CGT du personnel des Organismes sociaux appelle les syndicats à :
• Répondre à l’appel de la CES et des organisations syndicales CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa, à faire du 14 novembre une grande journée de mobilisation interprofessionnelle rassemblant les salariés du privé et du public, les retraités et les chômeurs,
• Décider des actions à mettre en œuvre pouvant aller jusqu’à la grève,
• Participer massivement aux manifestations.


14 NOVEMBRE 2012 CONTRE L’AUSTERITE, POUR L’EMPLOI, LES SALAIRES ET LA PROTECTION SOCIALE !

Le 14 novembre 2012, la confédération européenne des syndicats appelle à une journée d’action pour l’emploi et la solidarité en Europe. Les organisations syndicales françaises CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa s’inscrivent avec l’ensemble du syndicalisme européen dans cette journée.
Dans toutes nos professions, l’emploi et les salaires font les frais des politiques d’austérité dictées par la Commission européenne. Ces politiques qui font plonger l’Europe dans la stagnation économique, voire la récession ont des conséquences directes dans nos professions.
Que ce soit dans les régimes de Sécurité sociale (Régime général, Régime social des indépendants, Mutualité Sociale Agricole), l’Aide à domicile, les Groupes de Protection sociale, la Mutualité, les Missions locales, Pôle emploi…. les salariés sont au régime sec depuis plusieurs années. Chaque année apporte son lot d’économies imposées au nom de politiques à court terme et à courte vue. Le Projet de loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) est révélateur de la soumission du gouvernement au dogme de la réduction effrénée des dépenses publiques.
Tous les secteurs de la Protection sociale, pourtant essentiels pour la population, devraient être soumis à de nouvelles réductions budgétaires synonymes de suppressions d’emplois, de fusions et de restructurations, de blocage des rémunérations.
Pourtant, les conditions de travail ont atteint la limite du supportable et le service rendu se dégrade fortement. Les dysfonctionnements se multiplient aboutissant à des erreurs ou des retards préjudiciables aux usagers de nos professions. Le drame qui s’est déroulé cet été à la CAF des Yvelines où un allocataire s’est immolé par le feu devrait alerter ce gouvernement et le ministère.
Non, la Protection sociale ne doit pas être une variable d’ajustement pour tenter de parvenir à la réduction des déficits. Tous les secteurs de la protection sociale doivent être préservés et développés pour apporter au mieux aide et protection à la population confrontée à l’accroissement du chômage, de la précarité. En France 11 millions de personnes sont touchées par l’exclusion ou la pauvreté. Hier un homme, sans domicile fixe, est décédé. Ce n’est pas le froid qui a fait une nouvelle victime.
C’est le capitalisme qui l’a tué.
Face à la crise, le développement de la protection sociale est une des réponses essentielles.
Les traitements de choc infligés aux travailleurs notamment en Grèce, en Espagne et au Portugal montrent l’impasse des politiques qui conduisent à la destruction des droits sociaux. La cohésion sociale, le dialogue social et le respect des valeurs garanties par la Charte des droits fondamentaux sont remis en cause.
Ces politiques contribuent à amplifier les effets de la crise économique et sociale et accroissent fortement les inégalités entre les travailleurs européens.

La fédération CGT du personnel des Organismes sociaux appelle les syndicats à :
- Répondre à l’appel de la CES et des organisations syndicales CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa, à faire du 14 novembre une grande journée de mobilisation interprofessionnelle rassemblant les salariés du privé et du public, les retraités et les chômeurs,
- Décider des actions à mettre en œuvre pouvant aller jusqu’à la grève,
- Participer massivement aux manifestations. Dès ce jour, la fédération s’adresse à l’ensemble des organisations syndicales des professions pour leur proposer une action unitaire.

le 29 octobre 2012

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La manif sur Épinal a réuni 3000 personnes

Les organismes sociaux des Régions Lorraine et Alsace  présents à la Manif étaient présents

             

       

Une très bonne participation

 


 

Le 9 octobre, manifestation à Epinal

Le 9 octobre, l’emploi lié aux forts enjeux industriels fera l’objet en Europe d’une première mobilisation dans plusieurs pays, à l’initiative de la Fédération européenne de l’Industrie. En France, la CGT appelle à une journée interprofessionnelle liant ces enjeux aux préoccupations des salariés de tous les secteurs, sur l’emploi et le marché du travail.

Non les salariés ne sont pas une charge et le travail ne représente pas un coût. C’est le travail qui créait des richesses.

Nous refusons les politiques qui n’ont d’autre vocation que de détruire notre système de protection sociale, nos emplois et diminuer nos salaires.

La CGT revendique pour que les changements réclamés dans les urnes se traduisent en actes : - Arrêter l’hémorragie des emplois. — Augmenter les salaires - Des embauches pérennes, sont nécessaires partout.

Dans nos professions, les licenciements, et les pertes d’emplois se multiplient. La pression augmente tous les jours.

La qualité de « service rendu » aux assurés diminue. Autant de raisons de prendre part à toutes ces actions !

Pour la CGT il faut :
- Instaurer la Sécurité sociale professionnelle pour sécuriser le parcours de chaque salarié.
- Orienter l’investissement productif vers la croissance et la création d’emplois.
- S’attaquer concrètement à la précarité, notamment chez les jeunes.
- Arrêter les suppressions d’emplois et contraindre les entreprises à des alternatives aux licenciements.
- Permettre l’indemnisation de tous les chômeurs.
- Réglementer et encadrer la sous-traitance.
- Renforcer les moyens pour le service public de l’emploi et la formation tout au long de la vie.
- L’arrêt des exonérations de cotisations sociales.

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CA SE PASSENT DANS NOS ORGANISMES

TRES URGENT !!!!

 le lundi 3 septembre 2012

Veuillez trouver ci-joint un communiqué de presse, concernant une Conférence de presse à 13h00 vendredi 7 septembre devant l’accueil de la CPAM du Calvados, boulevard Weygand à Caen.

Contact : LE FLAHEC Véronique : 06.71.12.12.14

Le syndicat CGT de la CPAM du Calvados

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Dans le cadre du conflit à la CPAM du Calvados pour la requalification des 3 CDD en CDI, ci-joint courrier adressé à : - Mme Marisol, Tourraine, la ministre des Affaires sociales et de la Santé,- M. Michel Sapin, le ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social

 le lundi 3 septembre 2012

(les deux lettres sont jointes en pdf)

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CAF de Metz

le dimanche 2 septembre 2012

La CAF de Metz, n’est pas épargné sur les mauvaises conditions de travail, les réductions d’effectifs, ..........

Tract remis, à Mr DROUET, Directeur de la Caisse Nationale des Allocations Familiales le 31 aout 2012

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urgent : CPAM du calvados

communiqué et lettre ouverte à l’ensemble du personnel

 le jeudi 30 août 2012

la lutte continue ! non aux licenciements ! respect du code du travail ! Oui à la requalification des CDD en CDI ! (à télécharger et à faire connaitre le plus largement possible)

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AMAPA de Metz

 le mardi 14 août 2012

Les salariés de l’Amapa, à l’appel de la CGT, ont décidé d’occuper dans la nuit de mercredi à jeudi les locaux de l’association. Arrivés sur les lieux à 16h30, ils ont envahi les locaux de la direction.

Les salariés ont interpelé le directeur général sur sa responsabilité dans la situation de l’association, l’absence totale de transparence sur de la gestion.

L’association est mise en redressement judiciaire depuis le 26 juillet dernier.

Durant ce même mois, les syndicats ont alerté et rencontré les Pouvoirs Publics (Préfecture, Conseil Général) sans résultat concret.

Par cette mobilisation, décidée en assemblée générale du syndicat, les salariés ont voulu montrer leur attachement à leur outil de travail. Cette forme de mobilisation, une première dans l’histoire de l’association a fait événement, elle témoigne de la détermination des salariés qui attendent maintenant des engagements concrets des pouvoirs publics.

La CGT exige des mesures transitoires et un engagement financier des Pouvoirs Publics en attendant la reforme du financement de la perte d’autonomie promise par le nouveau Gouvernement. L’Amapa assure des missions de service public sur l’ensemble du département de la Moselle : service de soin à domicile, établissement pour personnes âgées dépendantes, aide à domicile.

La CGT propose la tenue d’une table ronde avec l’ensemble des partenaires et financeurs, pour créer les conditions de la poursuite et du renouveau de l’association avec un nouveau mode de gouvernance. En Moselle comme sur l’ensemble du territoire des financements supplémentaires sont indispensables pour répondre aux besoins existants.

La mobilisation des salariés s’est terminée symboliquement le matin par le dépôt d’un cahier de revendication au siège du conseil général de la Moselle.

Les salariés ont déjà décidé d’être présent à la prochaine audience du tribunal de commerce le 18 septembre prochain. Le principe d’une assemblée générale du syndicat, dès les premiers jours de septembre a été arrêté.

AMAPA DE METZ

le lundi 6 août 2012

Assemblée Générale des syndiqués du mardi 31 juillet 2012

Malgré la période de vacances, l’Assemblée Générale des syndiqués ouverte aux sympathisants a rassemblé plus de 53 personnes Cette réunion a démontré l’attachement des salariés au maintien de l’intégrité de l’Association et à l’Urgence de la mobilisation La CGT exige que l’origine des difficultés soit clairement établie et que les pouvoirs publics assument leurs responsabilités.

Les salariés ont décidé de multiplier les initiatives pour que les intérêts des usagers et les leurs propres soient pris en compte par les décideurs.

Ils donnent RDV mercredi 8 août à 16h00 au 10 rue de Méric à Metz pour participer à une action de grande envergure.

Documents joints

 

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